La Caisse d’Epargne vient récemment de lancer une nouvelle campagne de communication. J’ai d’ailleurs été invité à l’événement, il y a quelques semaines de cela, mais je n’ai malheureusement pas eu le temps de poster quelque chose à ce sujet (sniff).
C’est la raison pour laquelle j’ai décidé, une fois n’est pas coutume, de faire une série de trois articles afin d’exposer les grandes nouveautés que nous avons pu voir lors de cette événement.
Et l’événement est de taille. En effet, la Caisse d’Epargne avait basé depuis plusieurs dizaines d’années sa communication sur l’effigie de l’Ecureuil, animal attachant et symbolisant la mission d’épargne qu’avait la société. D’ailleurs, les différentes campagnes de la Caisse d’Epargne ont reçu de nombreux prix de publicité pour leur qualité.
C’est la raison pour laquelle j’ai décidé, une fois n’est pas coutume, de faire une série de trois articles afin d’exposer les grandes nouveautés que nous avons pu voir lors de cette événement.
Et l’événement est de taille. En effet, la Caisse d’Epargne avait basé depuis plusieurs dizaines d’années sa communication sur l’effigie de l’Ecureuil, animal attachant et symbolisant la mission d’épargne qu’avait la société. D’ailleurs, les différentes campagnes de la Caisse d’Epargne ont reçu de nombreux prix de publicité pour leur qualité.
Mais alors, pourquoi changer ?
- Parque qu’après plus de 10 ans de saga animalière, le temps du changement était venu. Il fallait retrouver du sang neuf alors qu’on avait fait le tour du sujet.
- La Caisse d’Epargne a changé : De nouvelles activités ont été rajoutées, notamment dans le btob, et ainsi, le discours de la saga animalière était devenu trop loin des attentes de ces nouveaux publics.
Objectif:
- Regarder avec un oeil neuf la Caisse d'Epargne
- Pouvoir segmenter la nouvelle identité en fonction des typologies de clients: Grands groupes, pros, particuliers, etc...
- Créer du silence du calme et de la sereinite pour faire passer le message.
De plus, la Caisse d'Epargne va aussi revoir sa stratégie dans le hors média, en s'impliquant dans le mécénat culturel, en misant plus sur la musique que sur le sport (domaine où elle était très présente).
